Sauvons le pays !
« Un Président ne » devant « jamais dire cela » … de plus en plus d’internautes le font, pour le plus grand bien du Pays !
Ainsi je dénonce la tentation du Mercosur !
Avec des guerres peu contrariées par des opinions publiques faiblissimes mais au contraire soutenues par des Eglises très Puissantes, tous les grands pays de l’UE ont pourtant mis des siècles pour se constituer en pays homogènes.
Un Roi, Prince ou Empereur, une fois installé, était seul puissant mais aussi seul condamnable en cas d’échec : il était très prudent.
Dès sa naissance l’UE voulut faire très vite -cent fois plus ? –appliquant aux affaires des hommes la hâte, gage de succès dans le monde affaires financières.
Sinon, comment expliquer la disparition des accords sur des contrats d’un montant de 35 milliards ?
Comment expliquer qu’on commette de totales incohérences en envisageant des traités commerciaux portant sur des produits étrangers bons marchés parce que non grevés de contraintes de qualité alors que les nôtres doivent supporter le surcoût de sévères contraintes ?
Comment expliquer que ces dits traités vont ruiner nos producteurs locaux alors qu’à l’origine la PAC permettait à la France de vivre tandis que l’Allemagne prenait le secteur industriel ? Est-ce dans l’illusion pour cette dernière de vendre beaucoup aux pays bénéficiaires de ces traités, alors que des pays tiers vont aussi l’imiter.
Trahison des promesses de solidarité, examen superficiel des conséquences de modifications des dispositions convenues à l’origine de l’UE ? La probabilité est faible que l’UE se maintienne.
Voilà, à contrario, l’explication de la lenteur de la construction des pays actuels qui leur assura le succès.
Reprenons nos cartes, à l’image du Brexit, restons proche de notre peuple, en négociations perpétuelles avec Lui et avec les autres Peuples mais, cette fois, sans naïveté ni trahison.
Les Politiques prennent-ils entièrement leur responsabilité ?
Les Politiques, après avoir sauvé des établissements bancaires « parce qu’ils étaient trop gros pour faire faillite », ont refusé, dans un premier temps, de voir que cela avait affaibli les Pays. Puis, comme les Agences de notation, cousines elles-mêmes de ces banques, d’un cynisme absolu, leur reprochaient la faiblesse de ces Pays, Ils ont accepté de plaider coupables et d’organiser des sacrifices dangereux parce qu’irréfléchis.
Pourtant, Ils devraient rappeler aux Banques que leur seule source de revenus dépend de la santé des Pays Emprunteurs et qu’elles doivent modérer leur appétit, si elles ne veulent pas ruiner ces Pays et, par un implacable retour des choses, se ruiner elles-mêmes.
Concilier, avec intelligence et fermeté, les intérêts des différents intervenants de la Société est pourtant la seule responsabilité des Politiques.
Pourquoi laisser ce jeu dangereux se poursuivre ?