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Que penser de la déclaration du 27 juin d’Olivier Marleix, Président du Groupe Républicain à l’Assemblée Nationale, relative à l’extrême gravité de l’accroissement de la Dette de la France ?

L’accroissement de la Dette de la France et la Classe Politique : courts réveils, longues périodes d’oubli

A part les déclarations de F Bayrou (notamment en 2007, 2012), il n’y en eut pas de précises jusqu’à celles du 27 juin 2022 d’Olivier Marleix Président du Groupe Républicain de l’Assemblée nationale : courts réveils, longues périodes d’oubli !

Evidemment les deux essais (*) sur ce sujet émanant d’un citoyen inconnu -votre serviteur- ne pouvaient être qu’erronés (cf « Comment il s’appelle lui » de J-L Debré à propos de l’intervention chantée de 2003 du député Jean Lasalle).

La triste ressemblance de la France d’avant 1940 avec Celle d’aujourd’hui : un problème qui ne paraît pas réalisable et qu’on tait

Longtemps avant 1940, la modernisation militaire de l’Allemagne prend de court France et Angleterre qui jugent un rattrapage difficilement réalisable.

Dans les années 80 la Dette de la France permise par des mesures financières expérimentales croit lentement mais continument comme si le rattrapage n’était pas réalisable.

 

Entre 1939 et 1940, à mesure qu’on voit monter l’offensive nazie, la France s’inquiète pour se rassurer bien vite (le chef des armées a « son plan ») et se taire encore.

Depuis quelques années la France est avare de déclaration sur l’accroissement de la Dette mais en réalité toutes les réductions de relations humaines par un recours excessif aux relations numériques et toutes les oppositions totales au progrès social sont dictées par l’obsession de la Dette et constituent autant de fautes contraires à l’effet voulu du rattrapage : des réclamations de citoyens perdus, des grèves et des violences de groupes inconnus (?)…De très rares personnes publiques dénoncent l’extrême gravité de la situation mais ne donnent pas encore de solution.

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