La Crise grandit parce que, depuis le début des années 70, la Domination du Profit présentée fallacieusement comme Lutte contre le chômage, l’Absence de Pause des emprunts d’Etat ainsi que de leurs remboursements et l’abandon des concours à de nombreux Pays ne font pas l’objet de contre-propositions inédites et incontestables.
Essayons d’imaginer comment de Gaulle, qui en avait fait sa spécialité (1940 mais aussi OTAN, Décolonisation…), aurait traité le problème.
Je compatis à la peine de mon ami britannique mais mon incrédulité absolue se porte sur l’inanité de la classe politique internationale et me permet de voir que, si la peine britannique risque de durer, elle va bientôt être relativisée par celle de maints pays si, partout, les citoyens font le mauvais choix. Essayons de comprendre dans les lignes qui suivent.
Le 23 juin, les électeurs votent majoritairement « Brexit » au référendum, en dépit des avis appuyés de MM. Obama, Hollande…
Mais déjà le 25 juin, plus d’un million de Britanniques, réputés pourtant « fair-play », expriment une vive insatisfaction du résultat et réclament un nouveau référendum.
Dans les lignes qui suivent, cherchons à être précis sur l’avenir du monde entier à la lumière de ce passé.