



Les Citoyens élisent le Pouvoir pour une Mission : qu’il organise au mieux leur Vie.
Une telle Civilisation Meurt quand le Pouvoir Elu par les Citoyens, parmi un collège déjà assez différent d’eux, ne s’en est pas assez rapproché pour les comprendre et a préféré faire pour lui la prospérité Les Ressources Financières nécessaires pour Empêcher l’Opinion Publique d’observer les dérives apportées à la Mission étaient devenues insuffisantes.
Mais, depuis 50 ans, par de puissants Crédits, les Banques apportent les ressources qui permettent aux Pouvoirs de Prospérer encore par la Dette tandis que les Citoyens vivent sans espoir.
Cette inégalité de destins débouchera vers une Explosion incontrôlée.
Pour l’éviter, il nous faut un Président qui ait le sens de l’Etat et non le « sens des Affaires » pour mettre fin à l’accroissement de la Dette et faire contribuer tous les français -puisqu’aucun ne fait baisser le Chômage- au redressement du Pays.
Depuis 20 ans j’ai interrogé par écrit des milieux bien informés qui ne m’ont jamais répondu : pauvres gens, il faudrait leur financer des « attachés » pour le faire !
J’ai donc réfléchi à partir des informations écrites peu ou jamais démenties.
J’en suis arrivé à plusieurs idées fortes empruntées au général de Gaulle, à Stéphane Hessel (« Indignez-vous »)…
En résumé :
Un Pouvoir n’est bon que s’il a en face de Lui un contre-pouvoir. Une Société peut se dérégler à tout moment et doit pouvoir être corrigée à temps.
Il est bien connu que des organes doivent appartenir à l’Etat pour lui permettre d’assumer ses responsabilités.
La complexité de l’exercice du Pouvoir voudrait que des Hommes et des Femmes y aient été préparés dès leur plus jeune âge. Certains avaient environ trente de maturité de plus que leurs imitateurs. Une variante est la Personne que des circonstances violentes feront se révéler.
Il faut enfin admettre que nous n’avons pas actuellement le Profil désiré.
J’ai donc essayé de les classer avec lucidité. Ceci reste raisonnable si on rétablit les contre-pouvoirs.
Longue expérience, Originalité et Constance des idées, Maturité, Espérance de « règne » limitée par l’âge, Simplicité : Jean-Luc Mélenchon, mon préféré.
Humanité, Constance des idées : Jean Lasalle.
Une estime, d’ailleurs reconnue par les Citoyens, pour des personnes dont le train de vie n’est pas uniquement dû à un poste politique N Arthaud, Ph Poutou, N Dupont-Aignan et qui ont assez d’épaisseur politique pour ne pas se draper dans les habits de Ch. de Gaulle.




La Gouvernance donne des informations exactes -à condition de posséder un outil puissant de Recherche- aux Citoyens via des Médias papier, radio ou vidéo : ceux-ci en sont insatisfaits car elles ne sont pas automatiquement interrogeables ni ne se prêtent à des transcriptions numériques pour une sérieuse lecture. Ils ne trouvent pas de solution alternative et ne participent donc pas à la vie politique.
Actuellement cela donne des Citoyens et des Dirigeants qui ne distinguent plus le bien du mal et qui se livrent à une violence qu’on aurait eu du mal à imaginer.
Pourtant, je vais montrer, dans les lignes ci-après, que la demande de sérieuse lecture va être satisfaite à mesure que sera pratiquée aisément la Recherche avancée sur Internet et que les Citoyens, et avec eux la Gouvernance, progresseront dans la compréhension du Monde.




Les Gouvernants souffriront peu car ils feront probablement en sorte que les Prêts soient toujours accordés et satisfassent les Citoyens et les Prêteurs.
Néanmoins ces Gouvernants pourraient souffrir en choisissant une position moins confortable : dépenser plus en mesures de précaution (maintenir le stock des dispositifs de protection de la Population) tout en refusant d’emprunter. Ce refus serait décidé s’ils pressentaient que la Situation financière risquait de se dégrader très brutalement.
Les Citoyens souffriront car ils seront toujours, via l’impôt, la proie de l’Etat pour rembourser la Dette.
Les Prêteurs qui, s’ils avaient pris modèle sur le traitement des Citoyens (interdit bancaire, hypothèque, saisie de Biens…) auraient dû cesser de prêter depuis longtemps, souffriront quand ils auront compris que, à ce haut volume, la Dette deviendra une menace insupportable, les rapprochant , dans leur destinée de RUINE, des Gouvernants et du Peuple -les prédateurs disparaissent toujours avec leurs proies- et pouvant déboucher sur un scandale comme il n’en a jamais existé.
A ce point de bouleversement il semble qu’il faille Organiser une Conférence Internationale.
, afin de s’assurer qu’ils sauveront « leurs mises » et qu’ils ne souffriront pas de l’effacement de cette Dette. Ils feraient alors l’expérience de la VRAIE VIE et de l’administration d’une population différente de celle des actionnaires.
Probablement les Gouvernants, moins impopulaires que les Prêteurs, seraient à l’origine de la suggestion. Pour la première fois ils auraient à souffrir.
Les Citoyens placés dans cette situation prendraient conscience de la gravité de la situation et de leurs droits peut-être plus que lorsqu’ils avaient affaire à leurs « représentants élus ». Ils auraient certainement fort à souffrir d’être confiés à une entité aussi mal préparée.
Qu’en adviendrait-il ?
si les Prêteurs échouent dans ce premier arrangement ou le refuse.
La condition serait alors que les Gouvernants s’interdiraient, à partir de ce jour de l’Accord, d’emprunter ce qui mettrait fin à quarante ans de Dette, de dérèglements (**) ayant eu des conséquences désastreuses dans le Civisme, l’Humanisme, l’Environnement, le Bonheur, des Gouvernants comme des Prêteurs et des Citoyens…dans la mesure où lorsqu’on perd de vue la Vertu on s’autorise les Excès, qui, par définition, sont illimités, et on perd l’Equilibre !
Les Entreprises pourraient, elles, emprunter mais avec modération ne pouvant pas compter, comme l’Etat, sur des impôts!
A E 24/10/20 + 27/10/20
* : Les avertissements existaient : « Errare humanum est perseverare diabolicum »; « La politique de la France ne se fait pas à la corbeille » (Président de la république française Charles de Gaulle)
** : Comptes de Campagne de Chirac, Balladur, en 1995 ; de Sarkozy en 2007 ; Affaire Tapie BNP




Notre schéma productiviste ne peut pas réussir chez les pays pauvres même avec des produits vitaux pour eux : ceux-ci à juste titre voudraient que les prix soient très bas et nous aurions dû en produire une quantité infinie pour atteindre le bénéfice escompté.
Il ne peut réussir chez eux qu’en faisant travailler des salariés de ces pays, ce qui est devenu une priorité pour eux. Il en tirerait seulement comme bénéfice une sorte de prime de brevet.
La finitude des réserves pillables, la fragilité de toutes les espèces de notre chaîne alimentaire eu égard aux attaques chimiques …et le réchauffement climatique d’origine industrielle (s’ajoutant peut-être à d’autres) devraient ralentir progressivement les possibilités de production de produits nouveaux.
La masse des besoins satisfaits, des salaires induits et des suppléments d’impôts est inférieure aux prévisions : l’Etat ne peut plus rembourser intégralement ses Dettes.
A chaque bilan négatif, les Gouvernants empruntent, détruisent des services publics pourtant véritables -garde-fou de l’Etat, des Prix et de l’Ordre si cher à toute Société- et taxent les Citoyens pour ne pas toucher ouvertement aux salaires ni aux impôts directs tandis qu’ils font des cadeaux aux Sociétés (paradis fiscaux).
Le gouvernant s’engage sur le remboursement de cette nouvelle Dette en usant de toutes les subtilités de la Langue française.
Pendant ce temps les Citoyens ne trouvent pas quel fait favorable nouveau pourrait faire que la France réussirait après 40 ans d’échec
Et comme ils ne peuvent s’appuyer sur aucune opposition parlementaire pour faire éclater la réalité la mésentente feutrée s’installe, totalement stérile.
Amalric Eulsaur 24/10/2020