Sauvons le pays !

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Les Pays Riches, à la fin du XX et au début du XXIème siècle, croyaient s’être débarrassés des Grandes Agressions sans avoir à imposer aux hommes, ni sacrifice, ni respect…

Aujourd’hui, les « Economistes  Penseurs » des Pays Riches avaient donc les mains libres pour inventer leur solution

Ils ont joué sur la Peur :

Ils ont laissé se créer l’arme nucléaire pour faire comprendre qu’une Agressions conventionnelle entraînerait un enchaînement de ripostes nucléaires destructrices d’une grande partie de l’humanité et faire peur.

Cela devait éviter ainsi l’Agression.

Ils ont aussi joué sur la Cupidité via la mondialisation des échanges commerciaux, entre pays pauvres et pays riches

Ces derniers gagneraient à acheter les produits à bas prix pour les revendre à prix normaux chez eux.

Les pays pauvres gagneraient également car ils seraient mieux payés qu’auparavant.

En principe les deux parties seraient gagnantes.

Cela devait éviter encore l’Agression.

Ils se sont trompés sur le raisonnement nucléaire (peur) comme sur le raisonnement commercial (cupidité)

car un pays, assez pauvre pour penser qu’il avait été lésé dans ces échanges commerciaux mondiaux
et assez riche pour se servir -in fine- de l’arme nucléaire après s’être lancé dans une Agression conventionnelle, est passé à l’acte d’Agression sur un Pays pauvre et dépourvu de l’arme nucléaire.

Gouverner uniquement sur les défauts humains ne fonctionne plus lorsqu’on n’est plus tout-à-fait le plus fort

Pour préserver l’humanité, les Nations Unies devront être le fer de lance d’une Politique de non-agression entre Tous les Pays. Elles refuseront tout droit de véto et disposeront de Lois pour bloquer un contrevenant, ou pour l’inciter à prendre le statut de Pays Neutre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


En insistant sur la faible sur-pollution ajoutée par les Gros Jouisseurs, leurs Défenseurs se targuent d’avoir l’esprit ouvert et défendent discrètement leur comportement très voisin. Surtout ils désertent les discussions sur les nouveaux sacrifices antipollution supportés par les ménages déjà sacrifiés.

 

Ils ajoutent qu’on ne doit pas être rabat-joie à tout propos, profitant de l’impopularité de la morale qui reste attachée à certaines époques des Eglises.

Ils se taisent sur le fait qu’une société immorale pousse à la surconsommation, et donc vont permettre le rétablissement de l’Economie (vieux Postulat -ce qui ne se démontre pas- libéral modernisé en « ruissellement ») mais jamais la suppression de la Pauvreté.

 

 

Ils ne savent pas -ou le cachent- que ce train de vie sépare les Supers-Riches de la Population et leur permet d’IGNORER la DETRESSE de celle-ci

 

 

 

POUR MOI CEST CE DERNIER POINT QUI EST LA GRANDE FAUTE DES SUPERS-RICHES.


Voici le message que j’ai adressé à une grande plate-forme de Pétition. Selon moi, les Citoyens que nous sommes n’ont pas encore exploré tout ce qu’il faut proposer pour résoudre la Crise ni le cheminement pour y parvenir.

Mais nous pouvons frapper les esprits.

Si vous transformez le projet ci-dessous, n’hésitez pas !

 

 

Texte adressé à la plate-forme

Demander par pétition adressée à une Grande Banque de s’associer à ses consœurs pour proposer à tous les Etats de leur abandonner le pouvoir.

Par cette provocation kafkaïenne un des buts serait de lui montrer que des millions de citoyens du monde sont excédés que la Finance étouffe la Noble Politique.

Un autre serait de communiquer cette même information aux Peuples et aux politiques.

Je signe certaines de vos pétitions mais à 75 ans je n’ai pas le punch de prendre cette pourtant courte pétition sur mes épaules.

Mais je serais prêt à la parrainer sans les commentaires que je vous ai donnés MERCI MERCI!


Crise de 2008

Ci-dessous l’extrait du discours de N. Sarkozy, président de l’époque, sur la Crise.

Une certaine idée de la mondialisation s’achève avec la fin d’un capitalisme financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. L’idée que les marchés ont toujours raison était une idée folle.
Pendant plusieurs décennies on a créé les conditions dans lesquelles l’industrie se trouvait soumise à la logique de la rentabilité financière à court terme. On a caché les risques toujours plus grands qu’on était obligé de prendre pour obtenir des rendements de plus en plus exorbitants. On a mis en place des systèmes de rémunération qui poussaient les opérateurs à prendre de plus en plus de risques inconsidérés. On a fait semblant de croire qu’en mutualisant les risques on les faisait disparaître. On a laissé les banques spéculer sur les marchés au lieu de faire leur métier qui est de mobiliser l’épargne au profit du développement économique et d’analyser le risque du crédit. On a financé le spéculateur plutôt que l’entrepreneur. On a laissé sans aucun contrôle les agences de notation et les fonds spéculatifs. On a obligé les entreprises, les banques, les compagnies d’assurance à inscrire leurs actifs dans leurs comptes aux prix du marché qui montent et qui descendent au gré de la spéculation. On a soumis les banques à des règles comptables qui ne fournissent aucune garantie sur la bonne gestion des risques mais qui, en cas de crise, contribuent à aggraver la situation au lieu d’amortir le choc. 

Et maintenant?

Je ne citerai pas l’émission de France Culture  du 23 aout 2022 Crise financière 2008 notamment les précautions prises actuellement. Je reste très inquiet à propos des poudrières que sont devenues les Dettes de certains pays.

Continuons de dépenser mais « utile ».

 


La planète fonce vers « une grave crise financière et de la dette »

msn Capital

Depuis 2006 au moins MM Les gouvernants du monde cachent à leur peuple la vérité  annoncée pourtant par des personnes attentives

Les scenari du LEAP de crise non résolue en nouvelle crise non résolue…, les rares livres dont ceux de Jorion, Lordon et mes 2 ouvrage de 2014 et 2022 …ne peuvent pas leur avoir échappés, eux entourés d’armée d’experts, conseillers..

 

Comprennent-ils les gouvernants qu’il va falloir lancer des projets fous, restaurer les patrimoines glorieux mais délabrés et les vendre aux Nouveaux Riches par exemple pour dégager des fonds et ne compter ni sur l’inflation, ni sur une boulimie consumériste, ni sur des gains de productivité ?

Mots clés : gouvernant, crise, dette, cachent, fonds, inflation, boulimie, productivité