Sauvons le pays !

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seulement quelques extraits…de watch?v=76C3NLPRiDU

F :

c’est vrai que la campagne du traité de mastrich en 92 vous étiez un des héros du noN euh a 1:57 été vraiment votre émergence je dirais votre réelle émergence pour les français politique c’était il y a 33 ans

DV

à ce voisin je lui ai dit « mais souviens-toi 25:13

ton père lui euh il a vécu dans à l’époque il y avait une préférence communautaire quand de gaulle euh est arrivé au pouvoir il a dit « moi je veux bien continuer euh cette europe

qui me plaît pas trop mais à une condition c’est qu’il y ait la préférence communautaire c’est le marché commun il

y avait à l’époque un cordon douanier pour protéger l’agriculture oui puis on était 6 puis puis 9 voilà oui mais il y

avait le cordon douier alors qu’est-ce que ça veut dire le cordon douanier ça veut dire floriant que si vous avez

envie de manger du miel vous allez devoir d’abord consommer le miel européen h avant

d’aller acheter le miel en afrique du sud h si vous voulez consommer du lait

et ben avant d’aller chercher le lait australien il va falloir boire

DEV

un jour rencontré un ami

qui me dit euh « tu connais le great ? » hm je dis « en grit c’est quoi je

devrais t’intéresser à ça. » et à ce moment-là il me donne un livre de claus

Schwab hm hm ce great reset et dans le livre je lis la première ligne il faut

profiter du covid c’est une fenêtre il n’y en a pas il n’y aura pas d’autres euh pour la réinitialisation du monde

je me dis qu’est-ce que c’est qu’ le réinitialiser c’estàd en fait il explique que le covid doit être l’occasion de reprendre en main les peuples en gros et euh

et on a vécu et on est en train de vivre la suite on a vécu le confinement sanitaire

l’enfermisme et maintenant on a le le confinement

sécuritaire hm et alors il y a une logique dans tout ça

le ministre de l’intérieur explique qu’il faut la reconnaissance facial

31:13

euh on nous explique qu’il ne faut plus d’argent liquide ça c’est très grave

31:18

hein voilà euh tout ça c’est avec la bonne intention toujours avant c’était

31:24

la santé publique maintenant c’est pour arrêter les bandits pour les enfants

31:29

pour ouais les réseaux sociaux pour les enfants

(sur Poutine)

je me souviens du moment où il m’a dit où vous avez euh

37:55

oublié la recommandation du pape jean-paul II hm hm en disant « l’europe

38:01

ne pourra vivre en paix que si elle respire de ces deux poumons. » hm hm et

38:06

il m’a rappelé la phrase de Gaulle l’europe de l’atlantique à l’oural hm hm


watch?v=xTdbV7K7vTc

le compte X officiel 3:57 donc qui s’appelle 3:58 @asatmaajjorfr donc qui s’appelle armée 4:01 française

remarquez même combat même détermination on est en guerre là en fait l’État-major nous dit vous on est en guerre on est en guerre avec l’Ukraine contre la Russie on savait pas on avait pas voté pour ça

second tweet le 7 et là on est quasiment dans la menace en écrivant tout simplement « On vous voit » avec le petit symbole des yeux qui qui regardent en retweetant en plus leur propre tweet qui datait du 7 avril 2025 qui s’appelle lutte contre la désinformation …qui avait mis pour pour imagerie en dessous une photo de une salle remplie d’ordinateurs avec des des agents derrière qui pianotent avec sur les écrans des algoritmes qui circulent à tout vitesses des chiffres des lettres et cetera donc une espèce de salle de surveillance généralisée

je cite le chef d’état major des armées il faut s’opposer à l’adversaire dans l’ensemble des champs où il nous attaque … il faut aussi répondre là où la menace s’est révélée et là où elle a eu un impact on peut faire un communiqué sur les punaises de lit tiens tiens mais si le message s’est propagé sur les réseaux sociaux c’est aussi sur les réseaux sociaux qu’il faut intervenir pour informer et rétablir la vérité

il y a eu un premier article de challenge ce 6 juin le titre il n’y a plus un copec en caisse pourquoi les commandes du ministère des armées sont à l’arrêt avec un chapeau de cet article extrêmement clair je vous le lis étranglé par Bercy donc le ministère de l’économie le ministère des armées ne passe quasiment plus de commande aux industriels depuis le début de l’année entre gel de crédit opération non remboursée la situation apparaît de plus en plus périlleuse tiens tiens on est très loin des grandes promesses là ils écrivent aussi dans cet article de Challenge je cite « Les industriels français se réveillent avec une sacrée gueule de bois » bah oui par rapport à ce qui leur a été promis et puis euh on va citer cet autre extrait encore dans cet article « depuis le début de l’année aucune ou presque des commandes majeures prévues en 2025 n’a été officiellement signée par la DGA

dans la presse mondiale le Financial Times ce 8 juin sort un article là-dessus le titre la flambée des dépenses de défense de la France menacé par une dette nationale élevée en expliquant … « que tout l’argent en fait part en Ukraine  »

l’état-major devrait plutôt exiger le respect de la Constitution notamment de son article 35 sur l’engagement militaire qui supposerait un vote du Parlement


Pour faire réagir la Presse qui sait tout!

r

Bonjour, Je suis rentré chez moi. J’ai repris mon souffle. Et j’ai enfin un moment pour tout vous raconter, tout ce qui s’est passé à Genève, lors de notre combat le plus dur et le plus inoubliable contre le Traité Pandémique de l’OMS. Mais avant de tout t’expliquer, vous devez voir ça. C’était nous, juste devant l’ONU. C’est brut. C’est réel. Voilà à quoi ressemble la ligne de front :   Laisse-moi tout vous raconter. Parce que vous et moi ? On est en plein cœur de quelque chose d’historique ! Tard dans la nuit de lundi, sans aucun préavis ni transparence, 124 pays ont fait passer en force le Traité Pandémique de l’OMS lors d’une session surprise du comité. Pas de débat, aucune possibilité de s’y opposer, juste une tentative désespérée de clamer un “consensus” avant que tout ne s’écroule.
Et mardi, l’Assemblée plénière a tout simplement entériné. Traité adopté. Ils célèbrent. Mais voici la vérité que je brûlais de vous dire : Vous et moi, on a réécrit ce traité. Ce qui a été adopté ne ressemble en rien à l’immense tentative de prise de pouvoir dévoilée il y a deux ans. Grâce à la pression que nous avons exercée ensemble, le texte final n’est plus que l’ombre creuse de sa version originale. Regardez ce qu’on les a forcés à abandonner : Les pires éléments ? ÉLIMINÉS ! Le langage de censure le plus dur — suppriméLes mécanismes de contrôle d’urgence généralisés — retirésLes quotas obligatoires de partage de produits — annulésLes exigences contraignantes de transfert technologique — écartéesLes obligations de financement mondial — supprimées Et surtout, aucune clause permettant à l’OMS de passer outre les lois nationales en matière de santé. Ils visaient le pouvoir absolu. Ce qu’ils ont obtenu ? Un texte édulcoré, parce qu’on n’a jamais lâché. Vous vous souvenez des premières versions qui parlaient de gestion de la désinformation et de museler la dissidence ? Aujourd’hui ? Le traité parle de confiance et de transparence dans la communication : « Reconnaissant l’importance de la transparence et de la confiance dans les communications publiques… (Préambule, paragraphe 8) » Ce changement ne s’est pas produit par hasard. Vous et moi l’avons provoqué. C’est le fruit direct de notre pression. Ils voulaient le contrôle. On s’est battus. Et on a gagné. Et voici un autre point majeur : la clause de souveraineté. La “clause de souveraineté” était un piège, conçue pour inciter les gouvernements à signer. On l’a dénoncée, on les a exhortés à refuser. Ils ont signé quand même. Très bien. Maintenant, cette clause stipule : aucun article de ce traité ne peut outrepasser les lois nationales.
Elle n’était pas dans les premiers projets ; vous l’avez exigée et vous l’avez obtenue. Alors, on transformera leur piège en pied-de-biche juridique, pour bloquer ou annuler chaque abus au niveau national. Ce qu’ils ont voulu utiliser pour endormir les gouvernements deviendra notre arme pour démanteler leur tentative de mainmise.   Et Genève ? Que puis-je dire ? On a occupé les rues ! Notre installation avec les ballons était inoubliable ! Vous auriez dû voir ça. Un immense globe fait entièrement de ballons, entouré de lourdes chaînes argentées. Il trônait juste devant les Nations Unies, symbole du plan de l’OMS pour enchaîner le monde avec son Traité Pandémique.
Un monument impressionnant de résistance face à la vision de contrôle mondial de l’OMS. Les gens prenaient des photos depuis les balcons, depuis l’hôtel Intercontinental, juste à côté (où se déroulaient des événements parallèles), et même depuis l’intérieur du bâtiment de l’ONU ! Un délégué m’a dit : « On peut le voir depuis une des salles de conférence. » Ils ne pouvaient pas nous ignorer, même s’ils l’avaient voulu.   Le message était clair : le monde ne sera pas réduit au silence. Et puis il y avait nos Bus de la Liberté ! … Bon, vous connaissez l’histoire. Habillés de vérités puissantes. Conçus pour faire passer votre message directement aux délégués, en faisant le tour de l’ONU, juste au moment de leur arrivée. Mais la veille du grand jour, j’ai reçu l’appel. Les bus avaient été arrêtés à la frontière franco-suisse. Tous les permis étaient en règle. Tous les papiers validés. Mais la police suisse les a quand même bloqués, puis carrément expulsés de Genève. Repoussés dans le canton voisin de Vaud. On s’est précipités pour les rejoindre, immobilisés sur un parking tranquille dans les collines. Leur message était clair : « Si vous avancez, vous aurez des amendes massives ». Dites-moi qu’ils n’avaient pas peur de notre message ! MAIS… On l’a fait quand même ! Et lundi matin, nos bus ont passé les barrages. Directement jusqu’au seuil de l’ONU. Ils ont fait le tour juste au moment où l’Assemblée commençait. Les délégués tournaient la tête. Tedros a dû penser : « Pas encore eux… » Et ça, c’est le pouvoir de notre action citoyenne. Parce que quand la liberté est en jeu, nous, on ne recule pas ! Cliquez ici pour voir toutes les photos de l’événement à Genève. Alors, revenons au traité… voici le plus important : Ce traité n’est même pas terminé. L’un de ses éléments les plus cruciaux — l’Annexe PABS — n’a jamais été adopté. C’est elle qui détermine : Qui reçoit les vaccinsQui partage les échantillons de virusQui contrôle la propriété intellectuelle — en gros, qui profitera de la prochaine pandémie. Ils n’ont pas réussi à se mettre d’accord. Alors, ils ont reporté ça à 2026. Et au lieu de suivre la procédure officielle, l’OMS a enfreint ses propres règles : Ils ont scindé le traité en deux. Fait passer la partie incomplète. Déclaré une “victoire” fictive. Pourquoi ? Parce qu’ils n’avaient pas le choix. L’OMS manque d’argent. Elle perd la confiance du public. Elle perd ses donateurs. Les États-Unis — son principal financeur — s’éloignent. Ils ont gaspillé trois ans et des millions de dollars. Ils ne pouvaient pas se permettre une humiliation de plus. Alors, ils ont fait passer ce qu’ils pouvaient. Et ont espéré que personne ne remarquerait. Mais quelqu’un l’a fait. Lundi, la Slovaquie a demandé un vrai vote. Pas un simple tampon. Pas un accord dans un coin de couloir. Un vote. Et l’OMS a paniqué. Imaginez : ils espéraient faire passer le traité sans aucun vote formel ! Aucune responsabilité. Aucun débat. Juste un “consensus” d’arrière-salle. Quelle audace ! La pression a été immédiate. Des délégués ont encerclé l’équipe slovaque. Tedros lui-même aurait décroché son téléphone — appelant directement le Premier ministre slovaque pour lui demander de reculer. En gros : “tais-toi et ne dérange pas nos petites manigances”.   Alors, et maintenant ? … Vous vous posez sans doute la question… Ce n’est pas fini. Voici où nous en sommes :Le traité est partiellement adopté, mais pas signé. Aucun pays n’est juridiquement lié pour l’instant. Chaque nation doit désormais le ratifier à l’échelle nationale. La partie la plus dangereuse — l’Annexe PABS — doit encore être négociée. Et vous pouvez être sûr d’une chose : Nous serons là. Nous surveillerons. Nous combattrons. Nous dénoncerons, à chaque étape. Nous élaborons déjà un plan d’action pour : Utiliser la clause de souveraineté que nous avons imposée et en faire notre arme la plus puissante.Pousser les gouvernements à rejeter ce traité au niveau national.Dire un NON clair, ferme et définitif à toute future tentative de l’OMS de centraliser le pouvoir.En attendant, devinez quoi ? Pour survivre à leur crise financière, les pays membres de l’OMS prévoient d’augmenter les cotisations annuelles de 20 %. C’est notre argent. Votre argent. Pour maintenir en vie un système en train de s’écrouler et leur permettre de revenir à la charge. Nous nous y opposerons aussi. Nous ne laisserons pas l’OMS renaître de ses cendres, juste pour essayer, une fois de plus, d’écraser nos libertés. {{lead.First Name:default=edit me}}, cette semaine m’a brisé. Et elle m’a construit. Je n’ai jamais ressenti autant de colère, colère contre leur corruption, leurs manigances et en même temps, autant d’espoir !
Vous et moi, on a tenu bon. On a fait trembler les fondations de leur plan global.
On a stoppé la censure. On a repris notre souveraineté. On a brisé le silence. VOUS ET MOI AVONS FAIT TOUTE LA DIFFÉRENCE ! J’étais devant l’ONU, avec votre voix entre les mains. J’ai vu l’OMS vaciller.
Et ensemble, vous et moi, on a infléchi le cours de l’histoire dans le sens de nos valeurs, de NOS LIBERTÉS ! Ce n’est pas fini, mais retenez une chose : nous sommes en train de gagner ! Et les mots ne suffisent pas à dire combien je suis fier de ce que vous et moi avons accompli ensemble. Nous venons d’ouvrir un nouveau chapitre. Écrivons maintenant la suite, ensemble. De retour de Genève avec une immense gratitude pour ce que vous avez fait et le soutien que vous m’avez donné tout au long de ce combat. Sebastian Lukomski et toute la famille CitizenGO P.S. — Ce qui s’est passé à Genève montre à quel point notre mouvement dérange l’OMS. Ils ont précipité un traité à moitié terminé, bloqué nos bus, menacé d’amendes — parce qu’ils craignent ce que nous avons bâti ensemble.
Votre soutien nous a permis d’être dans la rue, dans les salles de négociation, sur les radars de tous les délégués. Maintenant, la bataille se déplace vers les parlements, les tribunaux, les places publiques du monde entier. Nous aurons besoin d’endurance pour chaque nouvelle étape. Si vous le pouvez, transformez votre don ponctuel en un petit don mensuel. Même 5 €, 10 € ou 20 € par mois permettent de maintenir nos équipes actives et notre pression constante — jusqu’à ce que ce traité soit enterré pour de bon. Merci pour tout ce que vous faites ! Références : Pour “adopter” le Traité pandémique la semaine prochaine, l’OMS invente les règles en cours de routeLes Nations adoptent un engagement historique pour se protéger des futures pandémies

Le traité mondial sur les pandémies proche de l’adoption, mais un obstacle clé subsiste

CitizenGO est une communauté, des citoyens actifs qui travaillent pour défendre la dignité humaine, la famille et la liberté religieuse dans le monde. Les membres de CitizenGO vivent dans tous les pays du monde. Notre équipe est répartie dans 16 pays sur les 5 continents et opère en 12 langues. Vous pouvez consulter notre site internet pour en savoir plus ou nous suivre sur Facebook et Twitter.

Pour contacter CitizenGO, écrivez-nous ici: citizengo.org/fr/contact


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LECTEUR de cette vidéo je sélectionne des pans entiers et je renonce au moment de vous les fournir tant ils sont techniques et « Hors sol ». Je me limite à des passages très sensibles.

c’est ce Qu’a vécu la Grèce ça a été d’une Violence inouïe la Grèce en fait s’en est Jamais sortie Mais c’est ce que vivaient les pays Beaucoup de pays africains dans les Années 70 80 90 2000 pays d’Amérique Latine aussi qui ont vécu cela ou d’Asie D’Asie sud-est bon ça produit Toujours du chaos.

chaque tranche de financement de l’Union Européenne sera distribuée lorsque les Cibles convenues auront été atteintes » a Expliqué Van Derleon elle est très clair « nous le savons tous il s’agit là de l’incitation la plus forte que l’on puisse mettre en place pour faire avancer les choses » .

tous les jours je mets un cierge pour que peut-être un jour les parlementaires se réveillent avec l’idée qui pourrait destituer selon l’article 68 de la Constitution Macron mais oui euh ça ce serait indispensable mais plus structurellement sortir du piège de la dette toutes les dépenses que je viens de vous citer elles peuvent toutes être éliminées toutes ou fortement allégées en plus de relancer la croissance économique en réindustrialisant la France et en relançant notre agriculture c’est-à-dire en faisant un modèle de patriotisme économique qui est pas du tout compatible avec le fait de rester dans l’Union Européenne et dans l’euro vous l’avez compris tout se tient mais tout ça permet de relancer la machine et de sortir du piège infernal de la dette puis supprimer toutes les agences … l’ARCOM des strates Comme conseils régionaux Conseils économiques sociaux Environnementaux régionaux qui … orbitent autour, les intercommunalités et cetera et cetera on arrête le financement de l’Union européenne puisqu’on l’aura quittée.

« et surtout » NDLR

le jeudi 29 mai Rendez-vous 18h au pied du Sénat à Paris 20 Rue Tournon….(NDLR/ pour les 20 ans du « NON » à L’entrée de la France dans l’UE) rassemblement populaire pour le Frexit