Sauvons le pays !
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Morale

Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale


youtube.com/watch?v=IiZ0jB_LiWs

La domination actuelle du « Zim boum boum » des Médias qui aurait dû nous empêcher de penser semble susciter la réaction inverse.

Dans ce cas je ne livrerai point de notes d’humeur, d’idées prémonitoires mais des extraits qui « font réfléchir ». Voici le premier. Les suivants sont aussi très intéressants à écouter, je ne sais si j’aurais le temps de les citer…

0:47 Bonjour, Charles Gave. Bonjour.  Merci d’avoir accepté notre invitation…

Vous êtes financier, économiste, président du think tank l’Institut des Libertés. Vous êtes aussi auteur de plusieurs ouvrages …

CG : Vous avez aujourd’hui des pouvoirs en place en Angleterre, en France, en Allemagne, etc., qui sont légaux mais qui ne sont plus légitimes.  C’est-à-dire qu’ils sont haïs par la population.

0:10 Le jour où ça va péter, c’est le jour où la police en aura marre. Tous ces régimes tombent quand la police cesse de les soutenir.

Ça met des années pour ruiner un pays comme la France. Et puis quand 0:20 vous êtes vraiment ruiné, la chute est d’une rapidité

0:27 il va y avoir une baisse du niveau de vie qui va être effroyable. Et qui va prendre le plus dans la gueule ? Les petites gens.


Merci à F Philippot

Plusieurs pays 9:55 dont les États-Unis ont d’ailleurs coupé certains passages du spectacle pour ne 9:59 pas choquer leur public les rediffusions 10:01 sont d’ailleurs bloquées dans un grand  10:02 nombre de pays sur les plateformes. Sans 10:05 surprise France Info expliquait ce matin 10:07 qu’il s’agissait là de question de droit de diffusion


Quand on trouve un article « Le problème de la démocratie » sur LSDJ d’Olivier Bonnassies (voir en fin d’article) qui s’exprime bien mieux que nos textes et quand on est invité à le diffuser, on le fait, y compris dans un blog.

« La démocratie est basée sur la vertu » disait Montesquieu dans son analyse des régimes politiques (De l’Esprit des lois, chapitre IV). Il expliquait que ce régime politique « plus fragile » requiert un civisme particulier, une « vertu politique » qui est « un renoncement à soi-même » en ce sens que les citoyens doivent « accorder plus d’importance à l’intérêt général et à la nation qu’à (leur) propre intérêt » en ayant toujours, chevillé au corps, « l’amour des lois et de la patrie ».

On en est loin aujourd’hui ! Depuis plusieurs décennies, dans la plupart des grandes démocraties occidentales, notre génération a cédé à la facilité. Ce penchant a été facilité par l’évolution des marchés financiers qui ont permis de vivre à crédit, en empruntant des sommes gigantesques qui plombent l’avenir de nos enfants comme jamais : qui pourra rembourser cela ?

Les peuples réclament toujours plus d’assistance de l’État, alors que, contrairement au sentiment général, la prospérité, la santé, l’hygiène, le confort, les loisirs et la qualité de la vie n’ont jamais atteint les niveaux d’aujourd’hui. Mais l’État est atteint de paralysie évolutive. À la moindre tentative de réforme, il se heurte à une opposition multiforme dans la rue, qui gagne habituellement quand elle a le soutien complaisant des médias.

Les hommes politiques ont pris l’habitude de flatter ces exigences ou de se coucher devant elles. La dernière campagne présidentielle en France a été l’occasion d’une surenchère surréaliste sur le thème de la hausse du pouvoir d’achat. Trois mois plus tard, Emmanuel Macron change radicalement de discours : ce serait aujourd’hui « la fin de l’abondance » et le temps de la« sobriété ». Le paysage aurait-il radicalement évolué en trois mois ? Ou nous aurait-on menti ?

En réalité, dans le fonctionnement actuel de nos démocraties l’horizon est au mieux à 5 ans et on ne pense qu’au court terme. Les hommes politiques, leurs entourages, leurs partis, ne sont attentifs qu’aux sondages et ne prennent leurs décisions qu’en fonction de l’opinion publique ; ils ne cherchent qu’à être bien vus dans l’instant ; ils n’ont en tête que leur indice sur les baromètres de popularité en vue de leur réélection (quand ils sont élus !). Et plus on approche des élections plus la démagogie s’en donne à cœur joie : on ne pense qu’au très court terme et les réseaux sociaux, qui s’enflamment vite, aggravent les choses.

Dans ce contexte, tous les problèmes de long terme sont négligés : la natalité, la politique familiale, l’éducation, l’écologie, la démographie, l’immigration, l’islamisme, les banlieues et les zones de non droit, la partition du pays, la technologie, l’industrie, les retraites et le montant de la dette ne semblent intéresser personne. Évidemment, avec ce type de comportement, les nuages s’accumulent : tous les clignotants passent au rouge et nous nous préparons à une crise sociale et économique inouïe.

Où serait le remède ? Comment retrouver la « vertu », le sens du « renoncement à soi-même » et la vision longue qui nous manquent tant ?

Dans le passé, des hommes politiques ont fait ce choix du bien commun contre la popularité. Ce fut le cas, notamment, de Gerhard Schröder, qui, sans être un exemple de moralité personnelle (vie compliquée !), a sauvé l’Allemagne, ou du moins sa prospérité économique, au début des années 2000, en mettant en place « l’agenda 2010 ». Ce paquet de réformes très impopulaires a provoqué la colère de son électorat, une chute de la popularité du chancelier et une lourde défaite électorale, qui l’a contraint à quitter la politique. Mais dix ans après, tout le monde reconnait que la prospérité allemande du début du XXIème siècle lui doit beaucoup.

Certains peuples peuvent aussi avoir des comportements responsables. C’est le cas parfois en Suisse, où, par référendum, le peuple a été capable de dire « non » à plus de vacances et à davantage de congés payés (2012), « non » à la limitation du salaire des patrons (2013), « non » à une hausse du SMIC à 3 240 euros (2014) et « non » à l’abolition de la redevance audiovisuelle (2018). Mais qui peut imaginer cela ailleurs ?

Dans l’Ancien Régime, même si cela n’empêchait pas les banqueroutes, les rois savaient que leurs enfants auraient à gérer l’avenir et cela conduisait naturellement à prendre en compte l’intérêt des générations futures. C’est ainsi que Jean-Baptiste Colbert (1619-1683) a fait l’effort – sans aucun gain de court terme évidemment – de faire planter des forêts de chênes qui ont assuré le bois nécessaire au développement de la marine française et qui ont contribué à la prospérité de la France dans les siècles suivants. Il l’a fait parce que c’était essentiel pour l’avenir de la nation et tout le monde le comprenait à l’époque. Mais qui se préoccupe du long terme aujourd’hui ?

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 31 Octobre 2022 – N°1731




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1:15 notamment un influenceur très connu Jeremstar Plusieurs millions d’abonnés sur instagram sur Twitter sur Youtube. Jéremstar on connait ça fait quelques années qu’il exerce ses talents et puis il a dit ceci hier sur ses réseaux sociaux écoutez on m’a proposé 15000 € c’est pas une plaisanterie pour faire je crois trois stories et un post où notamment je prendrai en photo filmerai dans l’isoloir ce que je mets [comme bulletin] dans l’enveloppe en fait donc à savoir le parti en question pour inciter …