Morale
Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale
Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale
Ci-dessous l’extrait du discours de N. Sarkozy, président de l’époque, sur la Crise.
Une certaine idée de la mondialisation s’achève avec la fin d’un capitalisme financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. L’idée que les marchés ont toujours raison était une idée folle.
Pendant plusieurs décennies on a créé les conditions dans lesquelles l’industrie se trouvait soumise à la logique de la rentabilité financière à court terme. On a caché les risques toujours plus grands qu’on était obligé de prendre pour obtenir des rendements de plus en plus exorbitants. On a mis en place des systèmes de rémunération qui poussaient les opérateurs à prendre de plus en plus de risques inconsidérés. On a fait semblant de croire qu’en mutualisant les risques on les faisait disparaître. On a laissé les banques spéculer sur les marchés au lieu de faire leur métier qui est de mobiliser l’épargne au profit du développement économique et d’analyser le risque du crédit. On a financé le spéculateur plutôt que l’entrepreneur. On a laissé sans aucun contrôle les agences de notation et les fonds spéculatifs. On a obligé les entreprises, les banques, les compagnies d’assurance à inscrire leurs actifs dans leurs comptes aux prix du marché qui montent et qui descendent au gré de la spéculation. On a soumis les banques à des règles comptables qui ne fournissent aucune garantie sur la bonne gestion des risques mais qui, en cas de crise, contribuent à aggraver la situation au lieu d’amortir le choc.
Je ne citerai pas l’émission de France Culture du 23 aout 2022 Crise financière 2008 notamment les précautions prises actuellement. Je reste très inquiet à propos des poudrières que sont devenues les Dettes de certains pays.
Continuons de dépenser mais « utile ».
Que va-t-on faire concrètement, après ces déclarations, pour entamer et poursuivre la baisse de la Dette de la France au plus loin possible ?
Le bluff consiste à prétendre sauver la Dette par des bonds de la productivité et par la dévaluation de certaines dettes non indexées sur l’inflation. Personne ne vérifie que la Demande est à la hauteur de l’Offre.
Déjà l’opinion selon laquelle une inflation probablement forte pourrait au contraire aggraver la situation se profile!
Lorsque dans l’immensité des pays endettés, l’un d’entre eux deviendra totalement insolvable, il sera la preuve que le raisonnement bonds de productivité + dévaluation de la valeur des dettes ne suffit pas.
La confiance mondiale s’effondrera comme un château de cartes. D’autre pays seront insolvables pendant que les plus prudents s’enrichiront et rejoindront le Club des très (trop ?) Riches auquel on n’a jamais voulu s’intéresser.
Des alliances (phénomène commencé) vont se constituer comme à chaque fois que trop de pays sont en difficulté et, conséquence de celles-ci, des guerres pourront éclater, féroces.
Une immense activité s’offre à eux. Ils ont pour ce Patrimoine le savoir de le recenser, de le restaurer avec les outils puissants d’aujourd’hui, en parallèle avec des travaux d’environnement autrement financés et de les vendre aux riches Acquéreurs.
A chaque étape ce sont des centaines de métiers repensés en Qualité qui vont donner des Emplois.
…pourrait être remplacée par une dotation du budget national : dans la mesure où le budget national est largement rétribué par les impôts directs et indirects sur les Français cela veut dire que le niveau de financement de la Télévision, pour être moins pesant sur le pouvoir d’achat des Français, serait diminué même si cela n’est pas dit explicitement.
Donc pour la Télévision, pour la Démocratie, n’ayons aucune crainte à lire les travaux de la Commission d’Enquête du Sénat « Concentration des Médias en France » du 31 MARS 2022 :
« …La liberté des médias est un bien précieux qui constitue l’un des fondements de notre démocratie.
Depuis la loi du 29 juillet 1881, la presse jouit en France d’un statut spécifique qui reconnait son rôle éminent pour la vitalité démocratique du pays. Les entreprises de médias sont soumises à des règles particulières et à une régulation dont le principe fait toujours l’objet d’un large consensus depuis la loi du 30 septembre 1986.
Pour autant, leur modèle économique a été profondément bouleversé ces dernières années, au point de susciter des craintes quant à leur capacité à faire vivre le pluralisme et notre souveraineté culturelle ».
… les subventions du Budget national aux activités culturelles, le recours aux experts en tout, brevetés SGDG (?), l’achat en grand nombre de médicaments non encore totalement homologués … pourraient être également largement diminués. Cela n’aurait aucune influence sur l’emploi. Pas de Crainte.
TOUT VA BIEN
Comme ici avec des informations prématurées mais dissuasives : Dans la toute première projection des élections législatives après la présidentielle, la formation d’Emmanuel Macron remportait la majorité absolue avec une avance confortable, entre 326 et 368 députés.
A comparer avec le résultat définitif très inférieur de 245 sièges !!!
Deux problèmes divisent les Politiciens.
Les bonnes questions suffisent aux personnes honnêtes, les grandes explications ne trouveraient aucune écoute chez les gérants de leur carrière politique personnelle.