Ce candidat, fort d’une expérience et d’une réflexion longuement élaborées, exposerait pendant toute la campagne, à l’intention des personnes précaires, les nombreuses et vraies décisions à prendre par les gouvernants (expérience française, par congé sabbatique « à côté de l’Europe », de fin des dépassements budgétaires, de patriotisme de l’impôt…) et aussi les modalités de l’accompagnement de ceux-ci par les personnes précaires elles-mêmes.
Il stopperait pour un long moment tous les populistes en ayant permis aux personnes précaires de voir le vide de ceux-ci. Il sacrifierait peut-être son avenir politique mais seulement pour un temps, celui qu’il nous faut pour admettre la valeur des grands Combattants!
Il faudrait absolument un candidat complet : cohérent, battant et républicain.
Ainsi fut de Gaulle face aux politiciens incompétents, lâches, fanatiques…
Cependant n’ayant pas, pour résister aux intimidations (pensons à Coluche) l’auréole dont de Gaulle bénéficia de par son engagement immédiat contre l’Allemagne d’Hitler, la force de ce candidat spécial pourrait en réalité se démultiplier grâce à un groupe de 3 ou 4 candidat(e)s, semblables après s’être longuement confrontés (cf Union de la Gauche de 1981) et se présentant tous à l’élection pour pilonner de leurs convictions en matière de vraie décision les médias à tour de rôle, au premier tour et, pourquoi pas, au second tour pour l’un d’entre eux.
Amalric Eulsaur 03/10/19