Depuis environ 40 ans de Libéralisme, les Citoyens acceptent des rémunérations basses et tolèrent les spéculations des Grandes Sociétés dans l’espoir, toujours déçu, de devenir moins pauvres et de participer ainsi par leurs impôts plus importants à la résorption de la Dette.
Parallèlement ces mêmes citoyens sont devenus mieux informés et apprennent que l’éventail des salaires s’élargit à leurs dépends.
Tort-on le cou à ce problème de la Dette non épongée ou accepte-t-on une dérive vers la révolte incontrôlée ?
Déjà l’article 78 esquissait l’hypothèse d’annuler la Dette et ses conséquences momentanées sur les relations de la France avec les autres Pays de l’Europe.
Les lignes suivantes se placent à l’origine des Dettes et non à ce que les débiteurs devront en faire.
Depuis la Révolution Française les Politiciens sont bloqués sur la question des Débats Gouvernement-ensemble des Français (cf Sieyès). Rien ne changerait jusqu’à la nuit des temps sur ce point parce que c’est inutile ou difficile ?
Longtemps la question du juste engagement s’est posée à moi. Devant l’accumulation du désordre, des citoyens, des organismes … réagissent et suscitent l’admiration. Ils font penser que le bon engagement est assez aisé à reconnaître.
Depuis 1958, 60 ans ou 2 générations, un étrange phénomène se répète. A chaque élection, les citoyens se lamentent d’avoir à choisir, en quelque mois, entre un représentant de l’entreprise croquemitaine familiale et des candidats politiques peu convaincants ou mal connus.
Cherchons qui peut faire changer cette situation mais ne le fait pas.
Cherchons aussi ceux qui ne pouvaient pas le faire mais vont y parvenir en sollicitant par Internet les candidats maintenus dans l’ombre malgré ou peut-être à cause d’une totale indépendance de leurs idées.
Amalric Eulsaur