Je choisis ce sujet car j’y recours avec satisfaction. Je livre donc mon expérience à ceux que cela intrigue.
Le cash : je suis libre, je fais ce que je veux avec mon pouvoir d’achat et immédiatement -suprême efficacité- si mon interlocuteur accepte. Ceux qui refuseraient d’ailleurs risqueraient de me perdre
Si cela s’aggravait les citoyens seraient capables de se lancer dans le troc. Cette obligation de l’estimation des transactions (merci donc à l’internet, aux catalogues…) pour que le troc soit du gagnant-gagnant développerait la compétence au service de la bonne intelligence.
Le cash facilite et accélère le contrôle des dépenses familiales (enveloppes maintenues ou passées sur Excel : cf art. 207) : finies les nombreuses et longues attentes de l’enregistrement des opérations par la banque. Celles-ci sont rares et familières : abonnements, autorisation de prélèvement…. Beaucoup moins de stress.
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