La circulation des piétons sera possible au centre-ville, mais limitée aux déplacements jugés essentiels et ceux-ci se feront uniquement accompagner des forces de l’ordre qui pourront procéder à des fouilles corporelles et des effets personnels. En revanche, aucun piéton ne sera autorisé entre 12 h 30 et 13 h 45 rue et place Notre-Dame, rue Févret, rue et place de l’Ancienne-Comédie, rue de la Fontaignotte et rue Collenot.
Mots-clés: médecine, prospérité, paix, désaccord , protectorat, résistance, Conseil de Sécurité, yalta
22 févr. 2022 (https://www.google.com/search?as_q=Etats-Unis%2C+France+Protection+sociale&as_epq=&as_oq=&as_eq=&as_nlo=&as_nhi=&lr=lang_fr&cr=countryFR&as_qdr=all&as_sitesearch=&as_occt=any&as_filetype=&tbs=).
Une coûteuse médecine américaine
« Le système américain est financé de manière privée et le système français est financé de manière publique. Les tarifs médicaux aux USA sont fixés de manière libre ce qui engendre un coût médical exorbitant alors qu’en France, les tarifs sont négociés très en amont avec l’ensemble des praticiens médicaux ».
Les adorateurs français des Etats-Unis auraient donc intérêt à laisser la France tranquille et à la quitter.
« (https://www.lepoint.fr › Phébé)
2 sept. 2022 — « l’Europe est une zone de croissance continue, de prospérité et de paix » est une promesse ; encore faut-il se donner les moyens de la tenir »
L’Europe n’a pas tenu cette promesse. Les adorateurs français jusqu’auboutistes de l’Union-Européenne devraient pouvoir demande un statut spécial pour y rester si la France, pour rester tranquille, opte pour le FREXIT.
Libération par Antoine de Baecque publié le 9 juillet 2004 à 1h24
Un très grand et long désaccord
(de Gaulle)« Car ses relations avec les Etats-Unis furent longtemps exécrables…
Roosevelt ne reconnaît pas la France combattante…
Roosevelt a une logique de guerre : il veut la gagner avec le moins de morts possible. Soutenir la France combattante en 1942-1943, c’est prendre le risque de sacrifier des vies américaines pour les beaux yeux de l’indépendance française…
Ils comptent placer la France sous protectorat anglo-américain, ne reconnaissent pas le gouvernement provisoire…
Il existe un syndrome de 40 chez les Américains : pour eux, la France est tombée en juin 1940, ils éprouvent de la compassion, mais elle n’est plus crédible… »
Par étapes, la réintégration de la France
« Par les rapports de leurs agents, de même que grâce aux faits sur le terrain depuis la journée à Bayeux, le 14 juin, Roosevelt comprend que de Gaulle a le soutien de la Résistance et de l’opinion en France…
…quand les Américains réfléchissent sur la future organisation des Nations unies, ils ne comptent pas sur la France.
Ce n’est qu’à Yalta, en février 1945, que la France obtient le cinquième siège permanent au Conseil de sécurité, de même qu’une zone d’occupation en Allemagne. «