Sauvons le pays !
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Une pièce de théâtre avait été joué il y a un siècle. On y a entendu cet échange:

G: Moi, le facteur, je ne l’attends plus. Mon fils est mort pour la Patrie. Peut-être aussi pour les Marchands de canons…

B Peut-être aussi pour les petroliers, et pour la Haute Banque Internationale… Ces messieurs ne bombardent pas la Rurh; en échange, les autres n’attaqueront jamais le Creusot. N’abimons pas le capital du voisin, il respectera le nôtre. Tout ça, c’est compère et compagnon…C’est pour ça qu’on tue nos enfants!

A transmettre à l’UE, à Macron Président de la France, à tous les Va-t-en Guerre!

L’auteur? Selon moi un des plus grands hommes de la Littérature et du Cinéma Français. Celui qui le soir où il reçut les félicitations d’une délégation de cinéastes allemands partit pour Monaco pour le restant de la Guerre 40 44.

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