Nous ignorons comment finira la Crise ou comment elle doublera ou décuplera d’importance et regrettons que le président actuel ne prenne pas le chemin du refus du désespoir que prit de Gaulle en 1940.
Je pensais ainsi mais, toujours motivé par ce fameux petit blog, j’ai découvert ce soir que l’espoir demeure.
Je voudrai les faire partager par nos internautes pour qu’ils les chuchotent aux oreilles de tous leurs concitoyens afin qu’ils créent vite une association citoyenne et à celles de nos nombreux élus pour qu’ils réussissent vite une unification de l’Europe avant que ne se produisent d’autres événements du type Grèce.
Mon intervention n’est plus seulement l’énumération des déviances à la Morale mais est déjà du domaine de la reconstruction Sociale et se placera ainsi dans la troisième catégorie –sociale- de mon Blog.
Je continue de rencontrer les amis que j’ai connus avant ma prise de conscience. Je sens de l’embarras à mon égard. Ils expliquent que la Crise a soudainement surgi et qu’ils sont devant une situation confuse, très différente de celle qu’ils ont connue jusque-là.
Ils attendent de savoir pour s’intéresser mais devraient plutôt nommer provisoirement ce qui est encore mystérieux et travailler avec ce matériau pour l’élucider comme firent nos ancêtres révolutionnaires avec l’Algèbre pour avancer en mathématique!
Il n’y a pas si longtemps les associations politiques ne se créaient pas pour remédier à la Crise ni au déficit de crédibilité des hommes politiques. Actuellement elles osent.
Sera-ce un feu de paille ou une vertueuse tendance comme le souhaitait Stéphane Hessel ?
Une chose est presque sûre : le Politique s’y intéresse peu et cette information n’est pas du tout diffusée comme elle le mériterait.
Je rédige mes articles à partir de l’actualité de la Crise multiforme (ce qui n’est vraiment pas simple du fait du grand désordre). J’en rédige aussi à partir de mes notes accumulées (ce qui me permet de prendre un certain recul).
Je prépare de nouvelles notes.
Je ne peux attendre que mon Blog prenne sa cohérence – la Société qui l’inspire ne l’est pas- pour décider de rechercher des associations similaires, d’autant plus que cette nouvelle tâche pourrait me prendre aussi beaucoup de temps. Je commence donc à utiliser le grand Classement du Journal Officiel et à relever des adresses.
Suivront, à une date totalement indéterminée, probablement avec l’aide d’une petite structure, les contacts avec ces associations.
Amalric Eulsaur