Famille, bavardages, jeux inventés il y a fort longtemps pour « amuser le peuple », maintenant diversifiés en sports-spectacles, discussions de débatteurs semi-professionnels, feuilletons de « money, sea, sex and sun », beaux documentaires sur la Nature que par ailleurs «Nous» ne respectons pas ou sur le moindre détail du passé dont «Nous» ne tirons aucun enseignement sur le présent et l’avenir.
Cela concerne des anonymes donc ne conduit pas à « Nous » fâcher avec eux et « Nous » permet de tuer le temps sans tomber dans la Solitude.
qui «Nous» révoltent « plus jamais ça », « « Qui aurait pu prédire la crise climatique aux effets spectaculaires? » » puis sont oubliés pour permettre à l’humanité de continuer à somnoler en liberté.
grâce aux ordinateurs toujours plus puissants :
Mots-clés : Politi; Nous ; Vaccin ; consumérisme; fiché ; Décrypter; Ingénieuse
1 Dans la Salle où j’étais on disait que Tous les Présidents déjeunent régulièrement avec les Très Pauvres !
2 Ah bon je croyais que c’était avec les Très Riches.
1 Oh pauvre, maintenant que tu me le dis, je me demande si j’ai bien écouté car j’étais pris par ma présidence de séance.
( A la manière de ….)
Ci-dessous l’extrait du discours de N. Sarkozy, président de l’époque, sur la Crise.
Une certaine idée de la mondialisation s’achève avec la fin d’un capitalisme financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. L’idée que les marchés ont toujours raison était une idée folle.
Pendant plusieurs décennies on a créé les conditions dans lesquelles l’industrie se trouvait soumise à la logique de la rentabilité financière à court terme. On a caché les risques toujours plus grands qu’on était obligé de prendre pour obtenir des rendements de plus en plus exorbitants. On a mis en place des systèmes de rémunération qui poussaient les opérateurs à prendre de plus en plus de risques inconsidérés. On a fait semblant de croire qu’en mutualisant les risques on les faisait disparaître. On a laissé les banques spéculer sur les marchés au lieu de faire leur métier qui est de mobiliser l’épargne au profit du développement économique et d’analyser le risque du crédit. On a financé le spéculateur plutôt que l’entrepreneur. On a laissé sans aucun contrôle les agences de notation et les fonds spéculatifs. On a obligé les entreprises, les banques, les compagnies d’assurance à inscrire leurs actifs dans leurs comptes aux prix du marché qui montent et qui descendent au gré de la spéculation. On a soumis les banques à des règles comptables qui ne fournissent aucune garantie sur la bonne gestion des risques mais qui, en cas de crise, contribuent à aggraver la situation au lieu d’amortir le choc.
Je ne citerai pas l’émission de France Culture du 23 aout 2022 Crise financière 2008 notamment les précautions prises actuellement. Je reste très inquiet à propos des poudrières que sont devenues les Dettes de certains pays.
Continuons de dépenser mais « utile ».
La planète fonce vers « une grave crise financière et de la dette »
msn Capital
Les scenari du LEAP de crise non résolue en nouvelle crise non résolue…, les rares livres dont ceux de Jorion, Lordon et mes 2 ouvrage de 2014 et 2022 …ne peuvent pas leur avoir échappés, eux entourés d’armée d’experts, conseillers..
Mots clés : gouvernant, crise, dette, cachent, fonds, inflation, boulimie, productivité