Voici le message que j’ai adressé à une grande plate-forme de Pétition. Selon moi, les Citoyens que nous sommes n’ont pas encore exploré tout ce qu’il faut proposer pour résoudre la Crise ni le cheminement pour y parvenir.
Mais nous pouvons frapper les esprits.
Si vous transformez le projet ci-dessous, n’hésitez pas !
Texte adressé à la plate-forme
Demander par pétition adressée à une Grande Banque de s’associer à ses consœurs pour proposer à tous les Etats de leur abandonner le pouvoir.
Par cette provocation kafkaïenne un des buts serait de lui montrer que des millions de citoyens du monde sont excédés que la Finance étouffe la Noble Politique.
Un autre serait de communiquer cette même information aux Peuples et aux politiques.
Je signe certaines de vos pétitions mais à 75 ans je n’ai pas le punch de prendre cette pourtant courte pétition sur mes épaules.
Mais je serais prêt à la parrainer sans les commentaires que je vous ai donnés MERCI MERCI!
Ci-dessous l’extrait du discours de N. Sarkozy, président de l’époque, sur la Crise.
Une certaine idée de la mondialisation s’achève avec la fin d’un capitalisme financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. L’idée que les marchés ont toujours raison était une idée folle.
Pendant plusieurs décennies on a créé les conditions dans lesquelles l’industrie se trouvait soumise à la logique de la rentabilité financière à court terme. On a caché les risques toujours plus grands qu’on était obligé de prendre pour obtenir des rendements de plus en plus exorbitants. On a mis en place des systèmes de rémunération qui poussaient les opérateurs à prendre de plus en plus de risques inconsidérés. On a fait semblant de croire qu’en mutualisant les risques on les faisait disparaître. On a laissé les banques spéculer sur les marchés au lieu de faire leur métier qui est de mobiliser l’épargne au profit du développement économique et d’analyser le risque du crédit. On a financé le spéculateur plutôt que l’entrepreneur. On a laissé sans aucun contrôle les agences de notation et les fonds spéculatifs. On a obligé les entreprises, les banques, les compagnies d’assurance à inscrire leurs actifs dans leurs comptes aux prix du marché qui montent et qui descendent au gré de la spéculation. On a soumis les banques à des règles comptables qui ne fournissent aucune garantie sur la bonne gestion des risques mais qui, en cas de crise, contribuent à aggraver la situation au lieu d’amortir le choc.
Je ne citerai pas l’émission de France Culture du 23 aout 2022 Crise financière 2008 notamment les précautions prises actuellement. Je reste très inquiet à propos des poudrières que sont devenues les Dettes de certains pays.
Continuons de dépenser mais « utile ».
La planète fonce vers « une grave crise financière et de la dette »
msn Capital
Les scenari du LEAP de crise non résolue en nouvelle crise non résolue…, les rares livres dont ceux de Jorion, Lordon et mes 2 ouvrage de 2014 et 2022 …ne peuvent pas leur avoir échappés, eux entourés d’armée d’experts, conseillers..
Mots clés : gouvernant, crise, dette, cachent, fonds, inflation, boulimie, productivité
La Crise grandit parce que, depuis le début des années 70, la Domination du Profit présentée fallacieusement comme Lutte contre le chômage, l’Absence de Pause des emprunts d’Etat ainsi que de leurs remboursements et l’abandon des concours à de nombreux Pays ne font pas l’objet de contre-propositions inédites et incontestables.
Essayons d’imaginer comment de Gaulle, qui en avait fait sa spécialité (1940 mais aussi OTAN, Décolonisation…), aurait traité le problème.