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Crise


lesechos.fr/2012/03/limposition-des-riches-americains-352737

Merci aux Echos et à leurs rares confrères

« Le taux d’imposition maximal sur les revenus des particuliers a atteint des sommets aux Etats-Unis lors des deux guerres mondiales ainsi qu’après la crise de 1929. Il est resté égal ou supérieur à 70 % jusqu’en 1980 avant de chuter pendant les années Reagan puis de remonter quelque peu ».


On s’est infiniment moqué du système des enveloppes de nos grands-mères. « Lampe à huile ! ».

Mais il a suffi que la crise économique mondiale s’approche pour qu’il revienne.

Voici ce que je tiens depuis 50 ans.

La confiance s’obtient par la traçabilité et le « pot commun » dès le début du couple et ça fonctionne encore!.       Echappe seulement au report des opérations (dépenses ou gains) parce qu’elle représenterait un travail excessif, la dépense en espèce quand elle concerne une minime dépense « nourriture-ménage ». Alors l’opération vérité sur cette nature consiste à additionner le reste figurant dans la colonne aux porte-monnaie du couple.

Tout le reste affecte une colonne compte bancaire et une colonne du cahier prévue pour cette nature d’opération (autrefois cahier manuel, maintenant Excel). Ainsi l’équilibre reste assuré. Le cahier est tenu par le plus « à l’aise avec Excel » sur ses indications et celles de son conjoint.


Ai-je fait un cauchemar ? X aurait cité fin juillet début août 2023, parmi 4 scénarii de la crise, celui d’une forte guerre laissant des survivants pour lesquels l’issue serait une aubaine. Aide d’un internaute vivement souhaitée !

Pas de rapport avec l’interview des prankers


Voici le message que j’ai adressé à une grande plate-forme de Pétition. Selon moi, les Citoyens que nous sommes n’ont pas encore exploré tout ce qu’il faut proposer pour résoudre la Crise ni le cheminement pour y parvenir.

Mais nous pouvons frapper les esprits.

Si vous transformez le projet ci-dessous, n’hésitez pas !

 

 

Texte adressé à la plate-forme

Demander par pétition adressée à une Grande Banque de s’associer à ses consœurs pour proposer à tous les Etats de leur abandonner le pouvoir.

Par cette provocation kafkaïenne un des buts serait de lui montrer que des millions de citoyens du monde sont excédés que la Finance étouffe la Noble Politique.

Un autre serait de communiquer cette même information aux Peuples et aux politiques.

Je signe certaines de vos pétitions mais à 75 ans je n’ai pas le punch de prendre cette pourtant courte pétition sur mes épaules.

Mais je serais prêt à la parrainer sans les commentaires que je vous ai donnés MERCI MERCI!

Crise de 2008

Ci-dessous l’extrait du discours de N. Sarkozy, président de l’époque, sur la Crise.

Une certaine idée de la mondialisation s’achève avec la fin d’un capitalisme financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. L’idée que les marchés ont toujours raison était une idée folle.
Pendant plusieurs décennies on a créé les conditions dans lesquelles l’industrie se trouvait soumise à la logique de la rentabilité financière à court terme. On a caché les risques toujours plus grands qu’on était obligé de prendre pour obtenir des rendements de plus en plus exorbitants. On a mis en place des systèmes de rémunération qui poussaient les opérateurs à prendre de plus en plus de risques inconsidérés. On a fait semblant de croire qu’en mutualisant les risques on les faisait disparaître. On a laissé les banques spéculer sur les marchés au lieu de faire leur métier qui est de mobiliser l’épargne au profit du développement économique et d’analyser le risque du crédit. On a financé le spéculateur plutôt que l’entrepreneur. On a laissé sans aucun contrôle les agences de notation et les fonds spéculatifs. On a obligé les entreprises, les banques, les compagnies d’assurance à inscrire leurs actifs dans leurs comptes aux prix du marché qui montent et qui descendent au gré de la spéculation. On a soumis les banques à des règles comptables qui ne fournissent aucune garantie sur la bonne gestion des risques mais qui, en cas de crise, contribuent à aggraver la situation au lieu d’amortir le choc. 

Et maintenant?

Je ne citerai pas l’émission de France Culture  du 23 aout 2022 Crise financière 2008 notamment les précautions prises actuellement. Je reste très inquiet à propos des poudrières que sont devenues les Dettes de certains pays.

Continuons de dépenser mais « utile ».