Mon intérêt pour mon métier et ma famille m’ont empêché d’approfondir la crise perçue dès 1992 en Italie et de chercher une association, un mouvement –y en avait-il seulement?- au sein duquel réfléchir.
En 2006, j’ai eu la disponibilité de réfléchir dans la solitude (j’ai publié un livre dont les références sont dans ce blog 1 ) : celle-ci s’accommodait de mon médiocre dynamisme et du toujours grand silence sur la Crise, le vélo étant même recommandé le 4 novembre 2007 par le Ministère de l’Economie comme solution à l’essence trop chère.
Aujourd’hui que des mouvements citoyens agissent, créent des événements, j’ai pris dix ans de plus : pour cette raison et non par certitude de posséder « la vérité », je voudrais leur communiquer ma façon de voir, plus que les accompagner dans trop de réunions qui ne sont « plus de mon âge ».