Ce n’est pas le sentiment de maîtriser les événements actuels –la difficulté à les décrire a donné ces lignes assez imprécises, ce que je regrette profondément- mais le sentiment de ne plus distinguer personne, parmi les acteurs actuels, capable de les maîtriser. J’ai mis l’accent sur des événements premiers puis parfois seconds mais j’en ai certainement oublié.
Nous ignorons comment finira la Crise ou comment elle doublera ou décuplera d’importance et regrettons que le président actuel ne prenne pas le chemin du refus du désespoir que prit de Gaulle en 1940.
Je pensais ainsi mais, toujours motivé par ce fameux petit blog, j’ai découvert ce soir que l’espoir demeure.