Les Gouvernants souffriront peu car ils feront probablement en sorte que les Prêts soient toujours accordés et satisfassent les Citoyens et les Prêteurs.
Néanmoins ces Gouvernants pourraient souffrir en choisissant une position moins confortable : dépenser plus en mesures de précaution (maintenir le stock des dispositifs de protection de la Population) tout en refusant d’emprunter. Ce refus serait décidé s’ils pressentaient que la Situation financière risquait de se dégrader très brutalement.
Les Citoyens souffriront car ils seront toujours, via l’impôt, la proie de l’Etat pour rembourser la Dette.
Les Prêteurs qui, s’ils avaient pris modèle sur le traitement des Citoyens (interdit bancaire, hypothèque, saisie de Biens…) auraient dû cesser de prêter depuis longtemps, souffriront quand ils auront compris que, à ce haut volume, la Dette deviendra une menace insupportable, les rapprochant , dans leur destinée de RUINE, des Gouvernants et du Peuple -les prédateurs disparaissent toujours avec leurs proies- et pouvant déboucher sur un scandale comme il n’en a jamais existé.
A ce point de bouleversement il semble qu’il faille Organiser une Conférence Internationale.
, afin de s’assurer qu’ils sauveront « leurs mises » et qu’ils ne souffriront pas de l’effacement de cette Dette. Ils feraient alors l’expérience de la VRAIE VIE et de l’administration d’une population différente de celle des actionnaires.
Probablement les Gouvernants, moins impopulaires que les Prêteurs, seraient à l’origine de la suggestion. Pour la première fois ils auraient à souffrir.
Les Citoyens placés dans cette situation prendraient conscience de la gravité de la situation et de leurs droits peut-être plus que lorsqu’ils avaient affaire à leurs « représentants élus ». Ils auraient certainement fort à souffrir d’être confiés à une entité aussi mal préparée.
Qu’en adviendrait-il ?
si les Prêteurs échouent dans ce premier arrangement ou le refuse.
La condition serait alors que les Gouvernants s’interdiraient, à partir de ce jour de l’Accord, d’emprunter ce qui mettrait fin à quarante ans de Dette, de dérèglements (**) ayant eu des conséquences désastreuses dans le Civisme, l’Humanisme, l’Environnement, le Bonheur, des Gouvernants comme des Prêteurs et des Citoyens…dans la mesure où lorsqu’on perd de vue la Vertu on s’autorise les Excès, qui, par définition, sont illimités, et on perd l’Equilibre !
Les Entreprises pourraient, elles, emprunter mais avec modération ne pouvant pas compter, comme l’Etat, sur des impôts!
A E 24/10/20 + 27/10/20
* : Les avertissements existaient : « Errare humanum est perseverare diabolicum »; « La politique de la France ne se fait pas à la corbeille » (Président de la république française Charles de Gaulle)
** : Comptes de Campagne de Chirac, Balladur, en 1995 ; de Sarkozy en 2007 ; Affaire Tapie BNP
Notre schéma productiviste ne peut pas réussir chez les pays pauvres même avec des produits vitaux pour eux : ceux-ci à juste titre voudraient que les prix soient très bas et nous aurions dû en produire une quantité infinie pour atteindre le bénéfice escompté.
Il ne peut réussir chez eux qu’en faisant travailler des salariés de ces pays, ce qui est devenu une priorité pour eux. Il en tirerait seulement comme bénéfice une sorte de prime de brevet.
La finitude des réserves pillables, la fragilité de toutes les espèces de notre chaîne alimentaire eu égard aux attaques chimiques …et le réchauffement climatique d’origine industrielle (s’ajoutant peut-être à d’autres) devraient ralentir progressivement les possibilités de production de produits nouveaux.
La masse des besoins satisfaits, des salaires induits et des suppléments d’impôts est inférieure aux prévisions : l’Etat ne peut plus rembourser intégralement ses Dettes.
A chaque bilan négatif, les Gouvernants empruntent, détruisent des services publics pourtant véritables -garde-fou de l’Etat, des Prix et de l’Ordre si cher à toute Société- et taxent les Citoyens pour ne pas toucher ouvertement aux salaires ni aux impôts directs tandis qu’ils font des cadeaux aux Sociétés (paradis fiscaux).
Le gouvernant s’engage sur le remboursement de cette nouvelle Dette en usant de toutes les subtilités de la Langue française.
Pendant ce temps les Citoyens ne trouvent pas quel fait favorable nouveau pourrait faire que la France réussirait après 40 ans d’échec
Et comme ils ne peuvent s’appuyer sur aucune opposition parlementaire pour faire éclater la réalité la mésentente feutrée s’installe, totalement stérile.
Amalric Eulsaur 24/10/2020
Fidèle à mon souhait de faire intervenir mes lecteurs, je vous invite à découvrir l’auteur sur internet avec www.google.fr/advanced_search …
21/07/20 Amalric Eulsaur
Voici le projet de Pétition, n’hésitez pas à me signaler des coquilles ou inexactitudes
Le Covid19 cause, actuellement un immense Dommage humain, social et financier au Monde.
Or, de l’avis des prévisionnistes, les raisons ne manquent pas pour que de nouvelles catastrophes se produisent.
C’est pourquoi, sans attendre la fin du Covid19 qui est inconnue, nous savons qu’une nouvelle catastrophe pourrait s’ajouter et détruire la Société actuelle.
Pour éviter à tout prix cela, Monsieur le Président de la République, Nous citoyens, endeuillés, appauvris, inquiets pour l’Avenir mais toujours contributeurs essentiels, vous demandons de faire Modifier la Constitution pour que soit toujours confiée à l’Etat toute la gestion des réserves de Protection, en matières et matériels, permettant à l’Etat de bloquer immédiatement toute catastrophe de type connu et pour qu’un point annuel soit fait auprès des Elus de la République.
Sur le critère de la priorité, la réintégration complète dans le giron de l’Etat de la force de protection anti catastrophe est aussi prioritaire pour rassurer les futurs Créditeurs du Pays que l’organisation du déconfinement l’est pour redémarrer convenablement la Société avec ses Citoyens. A ce titre ces deux Lois doivent être publiées ensemble.