Nous ignorons comment finira la Crise ou comment elle doublera ou décuplera d’importance et regrettons que le président actuel ne prenne pas le chemin du refus du désespoir que prit de Gaulle en 1940.
Je pensais ainsi mais, toujours motivé par ce fameux petit blog, j’ai découvert ce soir que l’espoir demeure.
Je voudrai les faire partager par nos internautes pour qu’ils les chuchotent aux oreilles de tous leurs concitoyens afin qu’ils créent vite une association citoyenne et à celles de nos nombreux élus pour qu’ils réussissent vite une unification de l’Europe avant que ne se produisent d’autres événements du type Grèce.
Mon intervention n’est plus seulement l’énumération des déviances à la Morale mais est déjà du domaine de la reconstruction Sociale et se placera ainsi dans la troisième catégorie –sociale- de mon Blog.
Le premier parti a une grande expérience de gouvernement. Il inquiète toujours les tenants du « on ne touche à rien » par sa volonté de vouloir modifier la Société vers plus de Solidarité et déçoit ceux du « il faut que ça change », par son Bilan insuffisant.
Le deuxième, d’aussi grande expérience, ne propose aux Citoyens que la pauvre perspective « de travailler plus pour consommer plus »… de stupidités.
Le troisième, extrémiste mais exempt d’échec puisque exempt d’expérience de gouvernement, inquiète par le simplisme de ses idées qui semble mener directement à l’autoritarisme – tout est simple et n’a pas à être mis en discussion- et déçoit par la supercherie qui consiste à ne faire état que des seules erreurs politiques : nombreuses pour les deux grands partis de gouvernement et inexistantes pour lui, qui n’a jamais géré, pour en tirer vite la conclusion (ce fameux simplisme) qu’il est le meilleur pour cette Présidentielle !
Compte tenu de ces forces en présence, nous allons essayer de dégager les scenarii issus du statu quo actuel -basé sur les éminents alchimistes et les citoyens-grouillots– et aussi de proposer un scénario nouveau.
A partir d’une situation aussi difficile, l’Europe va-t-elle continuer d’exhorter les pays appauvris à devenir riches -une présentation simpliste pour souligner l’insignifiance du conseil- sans leur donner de recette ?
Ou bien l’Europe, consciente de l’importance qu’il y aurait, pour elle et pour la stabilité du Monde, à ce qu’elle réussisse son unification, ne va-t-elle pas demander aux pays assainis de prêter aux pays appauvris et à ces derniers d’adopter la discipline politique et sociale qui sera celle du gouvernement d’après l’unification et qui prévoira le règlement de ces dettes.