Je suis si hostile à la tromperie d’un Gouvernant qui exagère la complexité des décisions -tandis que le même trouvait toute simple dans la Vie quand il cherchait à être élu- que je vais, ici, sans aucun complexe, en chercher la raison avec les mots les moins « fumeux », les plus triviaux possibles. Je désignerai par faibles les Citoyens, forts les Chefs Politiques et Forts le Capital Industriel et Financier. Continuer la lecture
Depuis environ 40 ans de Libéralisme, les Citoyens acceptent des rémunérations basses et tolèrent les spéculations des Grandes Sociétés dans l’espoir, toujours déçu, de devenir moins pauvres et de participer ainsi par leurs impôts plus importants à la résorption de la Dette.
Parallèlement ces mêmes citoyens sont devenus mieux informés et apprennent que l’éventail des salaires s’élargit à leurs dépends.
Tort-on le cou à ce problème de la Dette non épongée ou accepte-t-on une dérive vers la révolte incontrôlée ?
Déjà l’article 78 esquissait l’hypothèse d’annuler la Dette et ses conséquences momentanées sur les relations de la France avec les autres Pays de l’Europe.
Les lignes suivantes se placent à l’origine des Dettes et non à ce que les débiteurs devront en faire.
Quand l’Europe se constitua dans sa forme actuelle, elle opta en première étape pour une forme de fédéralisme. Cette forme faiblement contraignante semblait suffisante pour assumer les grandes décisions qui devaient permettre de construire un espace économique dans la mesure où elle bénéficiait déjà d’une unité, celle spirituelle.
Il n’en est rien actuellement puisque certaines pays membres se sont laissé séduire par la possibilité d’emprunter et se sont ruinés tandis que d’autres, dont l’Allemagne, ont mené une politique beaucoup plus prudente et sont dans une situation normale. Comment combler ce fossé qui ne cesse de se creuser? Continuer la lecture