Les puissances, étatiques et privées, alarment les Citoyens sur des détériorations, des épuisements prochains de ce qui faisait la vie de notre monde (énergie, eau, alimentation, rôle de protection des strates atmosphériques). Simultanément elles essaient de les rassurer sur le bien-fondé du Libéralisme actuel, d’une part par un axiome pourtant douteux pour avoir si souvent mal fonctionné (l’Homme s’est toujours sorti –par de monstrueuses guerres- des impasses et le fera toujours) et d’autre part par des extrapolations hasardeuses, des fuites en avant (l’Espace promis comme nouvel Eldorado alors que les séquelles de l’ancien sont toujours là ).
Pendant ce temps les services publics des états sont menacés de disparition.
Devant tant de début de pénurie, les Sociétés privées surgissent avec toujours des solutions mirobolantes tandis que les Citoyens s’inquiètent et pourraient peut-être être tentés d’intervenir.
Quelles chances, les uns et les autres, ont-ils de réussir ?
Nous voulons passer en revue tous les composants de notre vie de Citoyen et en voir les avantages et les inconvénients pour la Société.
Nous serons conduits aussi à considérer les autres acteurs de la Société : Industriels, Financiers, Politiques, Médias, Artistes, Historiens, Philosophes et Religieux et à nous arrêter sur leurs rôles éventuels dans ces choix de vie.
Depuis longtemps, un vieux routier de la politique tient des propos choquants : il les choisit suffisamment graves pour attirer l’attention publique sur lui mais suffisamment vagues pour qu’il ne soit pas trop attaquable en justice.
Faut-il n’accorder aucune importance à ce comportement officiel ? Est-il le seul responsable ?
Etait-ce donc un complot des Conservateurs et fallait-il le déjouer ou était-ce un injuste procès fait aux conservateurs par les progressistes? Continuer la lecture
et en leur adjoignant ceux basés sur les résultats actuels, on perçoit, pour ce mot d’ordre Travailler, des perspectives rassurantes mais refusées malgré tout, parce qu’annoncées pour un terme trop lointain ou au contraire effrayantes s’il conduit à une humanité sans âme.