… Comme en ce moment, si Nous, les Citoyens, exigions de nos Politiciens autant que les Grandes Entreprises exigent de Nous quand nous voulons y entrer : casier judiciaire, tests de compétence, enquête de moralité, demande d’explication, faute professionnelle, licenciement, honneur final et non justifié par un grand chiffre de vente !
Autrement dit, pour Redresser Le Pays, il faut que Nous Cessions de prendre une attitude de répugnance lorsqu’on nous demande si nous faisons de la politique Et que Nous Pratiquions la Rigueur, la Radicalité à tous les stades (recherche, analyse, vérification de la cohérence, confrontation, modification, ces activités répétées sans relâche) de notre engagement dans la Vie Publique comme l’Apocalypse (3,16) le demandait à propos de la Spiritualité (« vomit les tièdes ») Sans oublier de pratiquer, sans gavage, les Loisirs lorsque la fatigue et le découragement nous assaillent.
Sans commentaire
Voici les lignes que m’a inspiré hier ce lien extrêmement riche.
watch?v=qSscS5VQuUc avec P-Y Rougeyron et J Sapir
Depuis longtemps beaucoup de français savaient par leur lecture que l’Occident était irrésistiblement malade mais n’en parlaient pas pour ne pas subir le sort de Cassandre.
Ils émettaient, moi parmi eux, des questions, des petites réflexions, des essais…
Car lorsqu’ils ont laissé passer l’occasion de faire éclater la Vérité, le Mensonge s’est installé pour longtemps et ce n’est que lorsque le Pouvoir s’est avachi dans une action protégée par la Censure et la Propagande qu’ils pourront commencer à reprendre la main. Ils auront d’autant plus la légitimité pour le faire qu’ils avaient dénoncé parfois vingt ans avant du danger. Ces fameux français feront même de nouvelles recrues.
Ils auront tous du travail : proposer (si rares sont les politiciens capables d’Innover, si fréquents ceux qui Rançonnent les Petits), encourager…
Les innombrables échecs actuels qui nous frappent parlent d’eux-mêmes.
La Commission européenne atlantiste a fait des chefs d’état concernés des Serviteurs, par un ou plusieurs moyens superbement efficaces, connus depuis longtemps et semble vouloir défigurer, anéantir la France comme avait essayé Roosevelt (son discours comparant la demande de de Gaulle d’avoir un siège au Conseil de Sécurité aux caprices d’une vieille Diva).
Le Président solitaire veut s’accrocher à la tête du Pays et donc poursuivre ses échecs tant qu’il n’aura pas trouvé un poste flatteur.
Le Peuple donne l’impression, surtout au Pouvoir qui pratique la méthode Coué, de supporter entre deux fortes crises, la pauvreté mais, comme cela s’est produit par le passé, tout Briser ensuite.
Plus grave encore, les Pays Etrangers commencent à ne plus avoir des rapports normaux de négociation avec nous (MercoSur, Tchad …)
Certains de nos hommes politiques jurent agir pour le Peuple comme d’autres l’avaient fait 30 ans avant qu’ils n’accèdent à de Postes Rentables mais Ignorants des Peuples
Ils vont probablement tous simuler. Ils font semblant de gérer le Pays alors que ce n’est plus possible.
Avec l’échec de ce jeu ils apportent la preuve que la Commission Européenne et notre Président bloquent la situation : les décisions importantes ne peuvent plus être prises. Les Parlementaires décident donc d’ignorer le Chef d’Etat.
Les deux Présidents du Parlement peuvent s’interposer en référant cette paralysie à ce dernier et l’inviter à Partir.
Le Peuple tout entier frappé par cette adversité retourne aux Elections Présidentielles.
La deuxième époque pour faire éclater la vérité arrive et nous verrons bientôt ce qu’étaient nos Censeurs et nos Communicants : des tigres de papier, des joueurs de Poker.
« L’objection de conscience est un refus d’accomplir certains actes requis par une autorité lorsqu’ils sont jugés en contradiction avec des convictions intimes de nature religieuse, philosophique, politique, idéologique ou sentimentale ».
Ajouterais-je à « intimes » pour ne pas vivre aux crochets de Wikipédia d’où vient ce passage le qualificatif de « désintéressées »
Je regrette de n’avoir pas plus de temps et de connaissance pour lire la grande littérature de tous les Siècles et de tous les Pays. C’est donc par hasard que j’ai trouvé ce livre « L’amie prodigieuse » d’E. Ferrante publiée chez Folio et le passage d’une discussion entre deux Jeunes italiennes pauvres.
Je n’hésite pas à vous le publier dans la mesure où superbement écrit il n’est pas loin des idées des Souverainistes du Monde Entier.
« J’ai vu que le matin il t’accompagne à la boutique »
« Parce qu’il m’explique ce qui s’est passé avant nous »
Elle revint ainsi à son thème de l’avant mais pas de la même façon qu’à l’école primaire. Elle m’expliqua que nous ne savions rien ni quand nous étions petites ni maintenant et que par conséquent nous n’étions pas en mesure de comprendre quoi que ce soit : tout dans notre quartier, chaque pierre, chaque morceau de bois, tout était là avant nous mais nous avions grandi sans nous en rendre compte, sans même jamais y penser. Et nous n’étions pas les seules. Son père faisait comme s’il n’y avait rien eu avant. Sa mère faisait pareil, la mienne, mon père, même Rino. Et pourtant, avant, l’épicerie de Stefano c’était la menuiserie de Peluso, le père de Pascuale. Et pourtant don Achille avait fait fortune avant. Et pareil pour la fortune des Solara. Elle avait fait le test avec son père et sa mère. Ils ne savaient rien, ne voulaient parler de rien. Rien sur le fascisme, rien sur le roi. Rien sur les injustices, rien sur les abus de pouvoir, rien sur l’exploitation. Ils détestaient don Achille et craignaient les Solara. Et pourtant, ils passaient outre et allaient dépenser leur argent chez les fils de don Achille comme chez les Solara et ils nous y envoyaient aussi. Et ils votaient pour les fascistes, pour les monarchistes, comme les Solara voulaient qu’ils fassent. Et ils pensaient que ce qui s’était produit avant c’était du passé et, pour avoir la paix fermaient les yeux alors qu’ils en faisaient partie, de ces choses d’avant et ils nous y maintenaient nous aussi et comme ça sans le savoir ils les perpétuaient.
« tout était là avant nous mais nous avions grandi sans nous en rendre compte, sans même jamais y penser »
Par respect pour l’autrice, j’extrais ces passages pour les mettre en relief :
« il m’explique ce qui s’est passé avant nous »
« tout était là avant nous mais nous avions grandi sans nous en rendre compte, sans même jamais y penser »
« Elle avait fait le test avec son père et sa mère. Ils ne savaient rien, ne voulaient parler de rien. Rien sur le fascisme, rien sur le roi. Rien sur les injustices, rien sur les abus de pouvoir, rien sur l’exploitation »
« Et ils votaient pour les fascistes, pour les monarchistes, comme les Solara voulaient qu’ils fassent. »
« Et ils pensaient que ce qui s’était produit avant c’était du passé et, pour avoir la paix, fermaient les yeux ».
« alors qu’ils en faisaient partie, de ces choses d’avant et ils nous y maintenaient nous aussi et comme ça sans le savoir ils les perpétuaient. »