Ce n’est pas le sentiment de maîtriser les événements actuels –la difficulté à les décrire a donné ces lignes assez imprécises, ce que je regrette profondément- mais le sentiment de ne plus distinguer personne, parmi les acteurs actuels, capable de les maîtriser. J’ai mis l’accent sur des événements premiers puis parfois seconds mais j’en ai certainement oublié.
L’opposition parlementaire serait affaiblie au Parlement.
La gauche essuyant un nouvel échec perdrait encore un peu plus de poids et découragerait tout homme politique nouveau, avide de parrainage.
Les Syndicats seraient très affaiblis.
La partie pauvre du Pays se sentirait abandonnée. Elle rentrerait sa colère qui ne disparaîtrait pas pour autant. Elle connaîtrait des soulèvements sporadiques…
César, Napoléon, Franco avaient acquis un grand Prestige par leurs campagnes militaires. Cela leur avait permis de garder un pouvoir personnel assez longtemps
Le Président Macron tirerait un petit Prestige car acquis aux dépens de la partie pauvre de son Pays et non d’un pays étranger.
Cependant il pourrait s’en satisfaire car il se renforcraite vis—vis de la seule liste politique rivale, le RN, et pourrait ainsi espérer gagner les élections présidentielles suivantes.
Alors son second mandat aurait une opposition parlementaire, gauche et droite, et un front des syndicats plus affaiblis encore et l’expression du mécontentement ne pourrait s’exprimer que par cette partie pauvre : sincère, à vif mais terriblement mal à l’aise, malade pour s’exprimer.
L’opposition entre une Classe bénéficiant d’une technique de gouvernance éprouvée et cette partie pauvre obligée de se montrer dans la rue serait une situation absolument dangereuse.
Amalric Eulsaur 02/01/20
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour publier un commentaire.