Morale
Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale
Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale
Que va-t-on faire concrètement, après ces déclarations, pour entamer et poursuivre la baisse de la Dette de la France au plus loin possible ?
Le bluff consiste à prétendre sauver la Dette par des bonds de la productivité et par la dévaluation de certaines dettes non indexées sur l’inflation. Personne ne vérifie que la Demande est à la hauteur de l’Offre.
Déjà l’opinion selon laquelle une inflation probablement forte pourrait au contraire aggraver la situation se profile!
Lorsque dans l’immensité des pays endettés, l’un d’entre eux deviendra totalement insolvable, il sera la preuve que le raisonnement bonds de productivité + dévaluation de la valeur des dettes ne suffit pas.
La confiance mondiale s’effondrera comme un château de cartes. D’autre pays seront insolvables pendant que les plus prudents s’enrichiront et rejoindront le Club des très (trop ?) Riches auquel on n’a jamais voulu s’intéresser.
Des alliances (phénomène commencé) vont se constituer comme à chaque fois que trop de pays sont en difficulté et, conséquence de celles-ci, des guerres pourront éclater, féroces.
Une immense activité s’offre à eux. Ils ont pour ce Patrimoine le savoir de le recenser, de le restaurer avec les outils puissants d’aujourd’hui, en parallèle avec des travaux d’environnement autrement financés et de les vendre aux riches Acquéreurs.
A chaque étape ce sont des centaines de métiers repensés en Qualité qui vont donner des Emplois.
…pourrait être remplacée par une dotation du budget national : dans la mesure où le budget national est largement rétribué par les impôts directs et indirects sur les Français cela veut dire que le niveau de financement de la Télévision, pour être moins pesant sur le pouvoir d’achat des Français, serait diminué même si cela n’est pas dit explicitement.
Donc pour la Télévision, pour la Démocratie, n’ayons aucune crainte à lire les travaux de la Commission d’Enquête du Sénat « Concentration des Médias en France » du 31 MARS 2022 :
« …La liberté des médias est un bien précieux qui constitue l’un des fondements de notre démocratie.
Depuis la loi du 29 juillet 1881, la presse jouit en France d’un statut spécifique qui reconnait son rôle éminent pour la vitalité démocratique du pays. Les entreprises de médias sont soumises à des règles particulières et à une régulation dont le principe fait toujours l’objet d’un large consensus depuis la loi du 30 septembre 1986.
Pour autant, leur modèle économique a été profondément bouleversé ces dernières années, au point de susciter des craintes quant à leur capacité à faire vivre le pluralisme et notre souveraineté culturelle ».
… les subventions du Budget national aux activités culturelles, le recours aux experts en tout, brevetés SGDG (?), l’achat en grand nombre de médicaments non encore totalement homologués … pourraient être également largement diminués. Cela n’aurait aucune influence sur l’emploi. Pas de Crainte.
TOUT VA BIEN
Comme ici avec des informations prématurées mais dissuasives : Dans la toute première projection des élections législatives après la présidentielle, la formation d’Emmanuel Macron remportait la majorité absolue avec une avance confortable, entre 326 et 368 députés.
A comparer avec le résultat définitif très inférieur de 245 sièges !!!
Deux problèmes divisent les Politiciens.
Les bonnes questions suffisent aux personnes honnêtes, les grandes explications ne trouveraient aucune écoute chez les gérants de leur carrière politique personnelle.
On n’affronte un grand danger que lorsqu’il nous touche spécifiquement et directement.
Si on l’affronte parce qu’on avait signé un Traité avec un Pays et que justement le danger touche ce Pays on sous-estime les sacrifices que l’on devra consentir si le danger éclate et lui surestime l’aide qu’on pourra lui donner.
En 1938 on n’a pas respecté notre accord d’assistance à la Tchécoslovaquie et celle-ci a été vaincue.
On n’a même pas profité du répit accordé par les accords de Munich pour prendre des forces et en conséquence on n’a pas été capable de sauver la Pologne malgré notre engagement.
Ce double exemple montre que nous devons affronter nos dangers dès qu’ils nous écrasent pour acquérir cette responsabilité qui nous fera trouver le bon remède et qui peut-être fera venir à nos côtés d’autres pays, pleins d’estime pour nous.
Ce qui se passe en Afghanistan montre encore que la France doit revenir à la position du Président de Gaulle qui était de ne pas dépendre des légèretés d’autres pays et d’organisations telle l’OTAN.
Amalric Eulsaur