Morale
Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale
Morale évoque la situation mondiale actuelle en ce sens qu’elle est une profonde atteinte à la Morale
1 Si tu ne vas pas à Lagardère, Lagardère viendra à Toi !
2 Et la Politique pour les citoyens ?
1 C’est la même chose pour nombre d’entre eux et
quand elle viendra ce sera trop tard.
2 Ah oui c’est ce qu’a dit le pasteur Martin Niemöller « Quand on a arrêté les Juifs, je n’étais pas Juif, je n’ai rien dit ; Quand on est venu m’arrêter, il n’y avait plus personne pour protester ».
Ils ont laissé se créer l’arme nucléaire pour faire comprendre qu’une Agressions conventionnelle entraînerait un enchaînement de ripostes nucléaires destructrices d’une grande partie de l’humanité et faire peur.
Cela devait éviter ainsi l’Agression.
Ces derniers gagneraient à acheter les produits à bas prix pour les revendre à prix normaux chez eux.
Les pays pauvres gagneraient également car ils seraient mieux payés qu’auparavant.
En principe les deux parties seraient gagnantes.
Cela devait éviter encore l’Agression.
car un pays, assez pauvre pour penser qu’il avait été lésé dans ces échanges commerciaux mondiaux
et assez riche pour se servir -in fine- de l’arme nucléaire après s’être lancé dans une Agression conventionnelle, est passé à l’acte d’Agression sur un Pays pauvre et dépourvu de l’arme nucléaire.
Ci-dessous l’extrait du discours de N. Sarkozy, président de l’époque, sur la Crise.
Une certaine idée de la mondialisation s’achève avec la fin d’un capitalisme financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune intervention politique, était une idée folle. L’idée que les marchés ont toujours raison était une idée folle.
Pendant plusieurs décennies on a créé les conditions dans lesquelles l’industrie se trouvait soumise à la logique de la rentabilité financière à court terme. On a caché les risques toujours plus grands qu’on était obligé de prendre pour obtenir des rendements de plus en plus exorbitants. On a mis en place des systèmes de rémunération qui poussaient les opérateurs à prendre de plus en plus de risques inconsidérés. On a fait semblant de croire qu’en mutualisant les risques on les faisait disparaître. On a laissé les banques spéculer sur les marchés au lieu de faire leur métier qui est de mobiliser l’épargne au profit du développement économique et d’analyser le risque du crédit. On a financé le spéculateur plutôt que l’entrepreneur. On a laissé sans aucun contrôle les agences de notation et les fonds spéculatifs. On a obligé les entreprises, les banques, les compagnies d’assurance à inscrire leurs actifs dans leurs comptes aux prix du marché qui montent et qui descendent au gré de la spéculation. On a soumis les banques à des règles comptables qui ne fournissent aucune garantie sur la bonne gestion des risques mais qui, en cas de crise, contribuent à aggraver la situation au lieu d’amortir le choc.
Je ne citerai pas l’émission de France Culture du 23 aout 2022 Crise financière 2008 notamment les précautions prises actuellement. Je reste très inquiet à propos des poudrières que sont devenues les Dettes de certains pays.
Continuons de dépenser mais « utile ».